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Ces sculptures ont été réalisées afin de montrer des jambes de femmes, parfaitement imparfaites 

 

L’une a été travaillée de manière unie, façon bronze, en jouant avec les mots, « le soleil bronze ou brûle, il tanne ou tue », et le paradoxe de la perception de soi.

 

Deux paires de jambes ont été travaillées d’inspiration japonaise du kintsugi, kin (or) tsugi (la réparation), selon la religion Bouddhiste. Avec nos blessures, il faut en faire quelque chose de beau. L’une claire, presque blanche, symbole d’une pureté bafouée, l’autre dans les tons de gris, symbolisant une femme plus posée et probablement plus mûre.

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Si vous souhaitez soutenir l'Association Francine Schwarzbourg, et découvrir le livre et son oeuvre magnifique, vous trouverez tous les renseignements sur le site :

La réparation kintsugi

De mes souffrances j’en fais de l’Art

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